undeuxtroissoleil

o r p h a n

Dimanche 11 décembre 2011 à 23:38

  
 
Regardé une photos de nous. Te regarder sourire. Pleurer.
 
 

Dimanche 11 décembre 2011 à 12:31

 J'ai de plus en plus de mal à regarder les autres se plaindre,
ou de les entendre me dire qu'ils sont malheureux sans trop savoir pourquoi.
Je ne dis pas que seul ma souffrance est légitime, non.
Mais ça m'emmerde, ça m'fous la rage.
Est-ce qu'ils ont ce vide eux au fond du coeur hein ?
Est-ce qu'ils ont eux, tout les jours à devoirs vivre sans toi ?
Je ne peux plus voir les gens pleurnicher sur leurs petite misères quotidienne.
Parce qu'eux si ils veulent appeler les personnes importantes pour eux, qui leurs sont chère, ils peuvent.
Ils peuvent toujours entendre leurs voix, ils peuvent les toucher et encore sentir leurs parfums.
Tout le monde a le droit d'être malheureux.
Je ne dis pas qu'il n'y a que moi qui a le droit d'être malheureuse.
Mais ça devient insupportable bon sang.

Jeudi 8 décembre 2011 à 13:48

 
 
Hier soir. Je suis plutôt bien. Je monte ces escaliers, je les rencontres, 15 min. passent. Je me dirige à nouveau vers ces escaliers, je tourne la tête, la fenêtre donne sur la rue. En bas à gauche il y a cette épicerie de nuit, on s'y rendait tout le temps. Il fait nuit. Les lumières de la rue. La nuit. Cette rue. Cette épicerie. Tout ça, de l'autre côté de cette fenêtre. Tu vois mon coeur, parfois même il me suffis simplement de tourner la tête pour me rendre compte que tu es là, partout où je suis. Tu es là, sans l'être vraiment. Mais tu es là. Partout où je suis je t'emmène avec moi, ou c'est toi qui attire mon attention. Ne me quitte pas trésor. Jamais.
 
 

Mercredi 7 décembre 2011 à 20:39

  
 Réaliser.
Maintenant. Demain. Jamais.


 

Lundi 5 décembre 2011 à 21:30

 Peut-être que y a un peu de ce que vous ressentez, vous,
dans ces mots, peut-être pas, peut-être un peu.
au delà de ça, j'aime ces mots, c'est tout.



"Il est de ces evenements qui sortent tout le reste de nos pensées.
Certaines circonstances qui nous stoppent net dans notre lancée.
"J'ai lu au fond de tes yeux ce que signifiait le mot "malheur".
C'est un souvenir glacial, comme ce soir de decembre.
Où tes espoirs brulants, on laissé place à des cendres.
J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'innexplicable.
J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable.
Je n'ai trouvé que ma main, pour poser sur ton epaule.
Attendant que les lendemains se depechent de jouer leur rôle.
J'ai pas les phrases miracles qui pourraient soulager ta peine.
Aucune formule magique, parmi ces mots qui saignent.
Je n'ai trouvé que ma presence pour t'aider à souffrir.
Et constater dans ce silence, que ta tristesse m'a fait grandir.
J'ai pas trouvé le remede pour reparer un coeur brisé.
Il faudra tellement de temps avant qu'il puisse cicatriser.
Avoir vecu avec lui et apprendre à vivre sans.
[...]
Tu as su rester debout, et j'admire ton courage.
Tu avances la tête haute, et tu traverses cet orage.
A côté de ton epreuve, tout me semble derisoire.
Tout comme ces mots qui pleuvent, que j'ecris sans espoir.
Pourtant les saisons s'enchaîneront, saluant ta patience.
En ta force et ton envie, j'ai une totale confiance.
Tu ne seras plus jamais le même, mais dans le ciel, des demain.
Son etoile t'eclairera, pour te montrer le chemin. "

 







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