undeuxtroissoleil

o r p h a n

Dimanche 30 octobre 2011 à 2:54

 


 
Le plus difficile à accepter c'est l'idée que..
Quoi que l'on fasse, quoi que l'on dise, rien,
absolument rien ne te ramènera parmi nous.
Reste l’absence, obstinément. 

 

J'écris tout ça non seulement pour toi, pour moi, mais aussi parce que j'ai ce besoin de dire au monde entier,
chaque jours qui passent, à quel point tu as pu changé ma vie, qu'à tes côtés le mot "bonheur" prenait tout à coup tout son sens.
Les moments les plus difficiles de mes journées sont ceux où je réalise que je ne reverrais plus jamais ton si beau sourire en face de moi..
Je suis en colère, j'en veux à la vie. 
Pour toi je ferais tout pour réussir dans ce en quoi tu as toujours cru en moi, pour que tu sois fière de moi,
quelque soit l'endroit où tu te trouves. Les mots restent impuissant face au manque grandissant.
Je ne te remercierai jamais assez de m'avoir prouvé que l'on peut aimé de façon inconditionnel, sans rien
attendre en retour, juste en ne faisant que donner, donner et encore donner de soi.. Sans rien compter ni
calculé, pour le simple bonheur d'aimer quelqu'un tel qu'il est, en toute réciprocité.
Tu étais et resteras mon unique soleil Lucas Pallagrosi. 
Infiniment toi, infiniment nous mon ange.

« Au lieu de se focaliser sur ce qu'on a pas, concentrons nous sur ce qu'on a. »
Voilà ce que l'on devrait se répéter à chaque fois que nous n'avons pas le moral.
Seulement, il y a des situations où la souffrance éprouvée est si forte, lorsque l'on perd quelqu'un
comme je t'ai perdue, où l'on ne voit plus que cette immense perte, cet immense vide créer par l’absence
de l'être cher, c'est comme ça, et l'on y peut rien. Seul le temps est capable de nous ouvrir les yeux à nouveau,
sur les personne toujours présente pour nous, sur ce qui subsiste et qui donne sens à une vie... Seulement,
le temps ne pourras jamais rien faire contre ton absence, au fond de moi la douleur restera la même.
Mon unique soleil, tu manques tellement à ma vie. 


 

Je ne parviens même plus à être là pour les personnes qui comptent réellement pour moi, mon père, ma mère, mon petit frère, et le peu d'ami(e)s qui me restent. Un peu comme si mon cœur se solidifiait, se glaçait, sans que je puisse y faire quelque chose. Je n’éprouve plus aucune compassion, pour quiconque. Au delà du fait du fait d'être mon ami, le meilleur, tu étais une des seule personne qui était capable de donné du relief à ma vie, chaque instant passés avec toi me faisaient oublié le reste, ta simple présence me faisait oublié tout ce qui pouvais entaché ce bonheur. On était simplement ensemble et ça suffisait. Je ne compte plus toute les fois où l'on se disait que « même si l'on ne se voit pas beaucoup, je pense souvent à toi », on pensait à nous c'est vrai. Tu m'as appris à aimer quelqu'un sans conditions aucunes, à lui prouver et à lui dire. Aujourd'hui ta présence me manque, je veux avancer pour toi je t'assure mais j'y parviens pas. Je regarde les gens poursuivre le court de leurs vie, moi j'en reste au même point. Ils n'ont pas ta spontanéité, ils n'ont pas ta bonne humeur, ils n'ont pas ton rire.. Et moi je ne sais plus où je dois me trouvé. Personne n'a su me prouvé qu'il tient à moi aussi justement que tu as pu le faire.. L'amitié que tu me portais, et que je ressentais m'aider tellement, pour tout un tas de choses.
Tu me manques mon soleil.


En ce moment il n'y a qu'en étant seule, allongée sur mon lit à penser à toi, à nous, à nos souvenirs que j'me sens bien. Ça fais bientôt deux mois, et rien, absolument rien ni personne n'arrive à comblé ton absence. En une journée je peux accordé de l'importance durant quelque minutes à des futilités, je ris parfois, mais à chaque instants c'est mon cœur qui te pense. L'idée que plus jamais je ne te verrais devant chez moi sur ton scooter, pour me proposer d'aller à la plage. L'idée que plus jamais je n'entendrais ta voix au téléphone me disant « Ouais Audrey j'me suis encore paumé dans ton quartier là comment on fait pour venir chez toi ??! ». Le simple fait de ne plus jamais avoir droit à un de tes si beaux sourires... Tout ça me hante. C'était juste le pure bonheur à tes côtés, tu manques tellement à ma vie mon trésor.

Moi j'ai pas envie de regardé les étoiles en m'disant que t'es quelque part là haut, tu serais trop loin de moi,
moi j'crois pas en toute ces conneries, pour moi y a pas d'étoiles, tu ne m'entend pas, tu ne me vois pas,
je ne t'entends plus et je ne te vois plus juste l'immense vide que tu as laissé dans ma vie en partant pour toujours ;
quoi que j'fasse il se passe rien. Le rien. L'absence. Le plus jamais. C'est si dur sans toi mon petit cœur.
Je croirais en nous jusqu'à la fin de mes jours, en cette amitié. Nous deux c'était l'amour de l'amitié, un truc unique.
Tout les jours tu continus d'exister dans ma tête, à chaque minutes mon ange t'es présent en moi, à travers moi,
dans mon cœur. Jamais tu ne mourras dans mon cœur, jamais tu t'en ira.

 

Parce que tu étais la seule personne qui me regardé avec ce regard là,
ce regard qui me permettait de croire en moi, peut importe les épreuves.
Je le sentais que tu étais fière de moi. 

 

 

 

Depuis que t'es partis je supporte plus tellement le silence, j'aime retrouver cette sensation
de te sentir assis auprès de moi quand je gratte trois accords, un peu comme lors de la soirée de
mes 17 ans, ton regard posé sur moi à cet instant précis me donnait envie de chanter pour toi toute ma vie.

Où que tu sois je me suis promis de faire tout ce que je peux pour que tu sois fière de moi, j'aimerais
te raconter tellement de choses, j'aimerais te faire partager tellement de choses mon ange..
Tu manques à tout, à mon coeur, à mes journées, à mes rires, à ma vie.

 

Sans la simple présence du peu de personnes que j'aime, je n'ai plus de repère.
A vrai dire j'ai perdu mon repère, ta joie de vivre et ta façon de me sourire suffisait à me guider.
Ton absence m'a fragilisé, me fragilise. Même si toi et seulement toi me donne cette force pour continuer.
Je continus beaucoup pour toi, un peu pour moi. C'est un peu comme si, même sans être là, tu persistais à
insuffler une force qui restera en moi pour toujours. Cela va faire trois mois que je n'ai plus droit à tes jolis mots, et j'ai déjà l'impression d'avoir passé une vie tout entière sans t'avoir à mes côtés. J'aimerais pouvoir m'accrocher à tes ailes, j'aimerais que tu me reviennes, mon corps est là mais mon esprit et mon cœur sans cesse ailleurs, en train de te chercher. Mon plus bel ange, je t'aime tellement et à jamais...

 

 

 

 

 

 

Par MavyBlondie le Mercredi 16 novembre 2011 à 8:30
"moi j'crois pas en toutes ces conneries, pour moi y'a pas d'étoile" C'est magnifique, continue d'écrire...
 

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