J'ai envie de crier.
Je pleure, tout les soirs sans vraiment le vouloir, parce que j'écoute cette chanson, ou parce que ce jeune homme que j'ai croisé aujourd'hui portait le même tee-shirt que toi. Ca coule, ça ne s'arrête pas, ça coupe la respiration. J'ai envie de crier.
Je ne crie pas. Tout le monde m'entends. Personne ne m'écoute.
Les mots ne délivrent de rien.
J'ai beau me confié aux gens, au gens que j'aime, qui m'aime, et au autres,
mon coeur pèse toujours aussi lourd.
Je ne sais plus vers qui me tourné.
Je ne sais plus à qui parler, alors je ne parle qu'à toi.
J'les emmerde je crois à avoir si mal.
Même toi tu ne me supporterais pas en ce moment, je ressemble au vieux caniche
de la maison du coin de la rue, qui aboie après toute les personnes qui passe chaque jours
devant son portail. Il ne fait qu'aboyer.
J'emmerde le monde. à pleurer. à être trop souvent de mauvaise humeur, en ne parlant que de toi.
Parce qu'ils n'ont pas eu, eux, à te voir inerte, tes yeux fermé et ton regard absent dans ce cercueil.
Ils ne t'ont pas vu.
Moi je t'ai vu.
Et moi je te ne te vois plus.
Il me suffit juste de regarder cette photo de toi à Tahiti, les bras grand ouvert, sous la pluie,
pour être en colère. Tu étais tellement en vie..
Je pleure, tout les soirs sans vraiment le vouloir, parce que j'écoute cette chanson, ou parce que ce jeune homme que j'ai croisé aujourd'hui portait le même tee-shirt que toi. Ca coule, ça ne s'arrête pas, ça coupe la respiration. J'ai envie de crier.
Je ne crie pas. Tout le monde m'entends. Personne ne m'écoute.
Les mots ne délivrent de rien.
J'ai beau me confié aux gens, au gens que j'aime, qui m'aime, et au autres,
mon coeur pèse toujours aussi lourd.
Je ne sais plus vers qui me tourné.
Je ne sais plus à qui parler, alors je ne parle qu'à toi.
J'les emmerde je crois à avoir si mal.
Même toi tu ne me supporterais pas en ce moment, je ressemble au vieux caniche
de la maison du coin de la rue, qui aboie après toute les personnes qui passe chaque jours
devant son portail. Il ne fait qu'aboyer.
J'emmerde le monde. à pleurer. à être trop souvent de mauvaise humeur, en ne parlant que de toi.
Parce qu'ils n'ont pas eu, eux, à te voir inerte, tes yeux fermé et ton regard absent dans ce cercueil.
Ils ne t'ont pas vu.
Moi je t'ai vu.
Et moi je te ne te vois plus.
Il me suffit juste de regarder cette photo de toi à Tahiti, les bras grand ouvert, sous la pluie,
pour être en colère. Tu étais tellement en vie..
Et oui, c'est révoltant de voir cette photo dont tu parles, et de penser à ce qu'il en est. C'est incompréhensible, oui on a envie de crier, mais on ne sait pas contre quoi et contre qui.
Tu as envie de crier, crie. Tu as envie de lui écrire, écris-lui.
Et même si ça ne sert à rien de te dire ça, j'aime ce que tu écris.