undeuxtroissoleil

o r p h a n

Vendredi 18 novembre 2011 à 0:29

 Elle (après lui avoir parler de toi pendant 20 bonnes minutes..) :
" ... C'était l'amour de ta vie en fait ".
 
D'après ce qu'elle a répondu, ça se voit que je t'aime
même à travers mes yeux et le son de ma voix.
 
 





Je me retrouve à travers tout ce monde, tout ces gens qui font beaucoup de bruit
pour pas grand choses, Je n'entends que toi, il m'arrive souvent de te voir,
de te voir sourire devant moi. Ca n'a pas changer, rien ne m'atteint quand tu es là,
que ce soit physiquement devant moi ou dans mon coeur, mon esprit.
Toi seul m'atteint.


J'ai appris qu'aucun mots, aucuns actes ne sont capable de m'enlever  cette douleur qui cogne.
J'ai pas besoin d'ange gardien, alors reviens qu'on aille faire un tour à la plage, reviens dans mes bras.

Je préférai ne plus porter tes tee shirt, je préférai ne pas m'être fait tatouée, je préférai ne pas
avoir ton poster et ton horloge Bob Marley, je préférai ne pas avoir à t'écrire, je préférai ne pas
écouter en boucle toutes les chansons qui me font penser à nous.
J'ai juste besoin de toi, là, près de moi, tout près..
 



Je suis fatiguée de vivre sans toi.

Mercredi 16 novembre 2011 à 7:43

 


Quand on s'est endormit devant BIG FISH après avoir encore trop bu de vin blanc et rigoler jusqu'à pas d'heure, notre soirée à rire et à boire assis sur les marches de la statue du Pérou à écouter des musiques débiles un écouteurs pour chacun, quand je t'ai aidé pour ton concours de coiffure, notre soirée chez toi où tu m'as présenté Agnès et où tu t'es tourné vers elle en lui expliquant à quel point notre amitié compté pour toi qu'entre nous c'était une amitié forte et spécial depuis déjà 5 ans, nos virées à la plage en scooter où l'on s'enduisaient de monoï où je râlais parce que t'étais toujours plus bronzé que moi surtout depuis ton retour de Tahiti et la fois où tu nous avez pris du pain perdue que tu avais fait maison le matin même, notre première rencontre lors de l'anniversaire « surprise » d'Estelle Fournil quand j'étais en 3ème où l'on ne s'était presque pas adressé la parole, la discussion msn qui a fait que l'on s'est vus de plus en plus souvent, nos après-midi sur l'espla, nos repas au macdo, quand je t'emmenais au ciné et que tu disais à chaque fois que ça faisais une paye que t'étais pas allé au ciné qu'à chaque fois que t'y allé c'était avec moi, notre aprem juste avant que je parte deux semaines en Grèce où l'on s'était dit qu'on s'aimait, les quelques mois où l'on ne s'est plus adressé la parole suite à la mort de ton père où tu commençais sérieusement à touché à la drogue, la fois où je t'ai revus à Jean Monnet après cette longue période de silence, quand on a recommencer à se parler, quand tu t'es repris en mains, que tu as décidé de reprendre les études, le jours où tu as eu ton CAP coiffures, la soirée de mes 17 ans où tu étais venus exprès pour moi même si tu ne te sentais pas très à l'aise avec mes potes, tu es venus quand même et l'on s'est assis par terre adossé contre le portail pour parler, on s'est dit cette fois là qu'on s'aimait très très fort et que notre amitié compté par dessus bien d'autre que l'on avait besoin l'un de l'autre pour avancer, quand tu me disais que j'étais selon toi une « vrai petite artiste » et que tu m'admirais et m'aimais pour ça, quand tu me disais que je comptais vraiment pour toi, que j'étais différente des autres puis que t'étais gêné parce qu'après tout ces mots j'me suis mise à pleurer dans tes bras, toujours pour mes 17 ans lorsque tu t'es assis à côté de moi lorsque je chantais et jouer de la guitare, quand tu m'as dis par la suite que t'avais montré quelque unes de mes reprises à ta maman et à ta tante , notre concert d'Olivia Ruiz ensemble, quand je t'ai emmené voir « Papa est en haut » de Gad Elmaleh pour mon anniversaire, la période où c'était nous deux contre le reste du monde, mes nombreuse soirées passé chez toi à prendre mille et une photos râtés, à rire à n'en plus en pouvoir, tu te rouler tes bédo, moi j'enquillais la bouteille de vin blanc, la fois où tu m'avais décoré ta tables basse, t'avais mis des bougie et de l’encens et tu m'avais fais à manger, les nombreuses fois où tu me rappelé que même si on ne se voyait pas trop souvent tu pensais beaucoup à moi, nos aprem au parc à côtés de chez moi à te prendre en photos, quand tu m'avais emmené à ce bar gay pour boire un diabolo fraise. L'aprem qu'on avait passé à la plage avec mon papa et mon fréro à jouer au beach volley et à boire un coup sur le vieux port. Le soir où ça n'allé pas du tout et où j'ai supplié mes parents qu'il accepte que tu dodo à la maison, les aprem passés dans le parc devant chez moi à te prendre en photos, à nous prendre en photos, à faire un cœur avec nos deux mains assemblés comme ça s'faisait à l'époque, notre grimace fétiches, nos délires sur les « têtes à claques »..

Dimanche 6 novembre 2011 à 22:43

 


 "Ma chérie,
Bon tatouage pour tes 19 ans
& une pensée pour Lucas. 
 Maman"

voilà ce qu'elle a écrit cette année sur ma carte d'anniversaire.
Je cours me réfugié dans les toilettes du restaurant.
Larmes.







c'est fou comme de simple mot puissent chaque jours rendre compte du vide que tu as laissé derrière toi,
du manque qui grandit chaque jours, qui prend toute la place dans mon coeur.

Jeudi 3 novembre 2011 à 0:03

    
Parce que faire son deuil ça veut aussi dire passer des soirées entières
à chialer, seule, en n'ayant pour unique envie de t'avoir dans mes bras.
 

Dimanche 30 octobre 2011 à 2:54

 


 
Le plus difficile à accepter c'est l'idée que..
Quoi que l'on fasse, quoi que l'on dise, rien,
absolument rien ne te ramènera parmi nous.
Reste l’absence, obstinément. 

 

J'écris tout ça non seulement pour toi, pour moi, mais aussi parce que j'ai ce besoin de dire au monde entier,
chaque jours qui passent, à quel point tu as pu changé ma vie, qu'à tes côtés le mot "bonheur" prenait tout à coup tout son sens.
Les moments les plus difficiles de mes journées sont ceux où je réalise que je ne reverrais plus jamais ton si beau sourire en face de moi..
Je suis en colère, j'en veux à la vie. 
Pour toi je ferais tout pour réussir dans ce en quoi tu as toujours cru en moi, pour que tu sois fière de moi,
quelque soit l'endroit où tu te trouves. Les mots restent impuissant face au manque grandissant.
Je ne te remercierai jamais assez de m'avoir prouvé que l'on peut aimé de façon inconditionnel, sans rien
attendre en retour, juste en ne faisant que donner, donner et encore donner de soi.. Sans rien compter ni
calculé, pour le simple bonheur d'aimer quelqu'un tel qu'il est, en toute réciprocité.
Tu étais et resteras mon unique soleil Lucas Pallagrosi. 
Infiniment toi, infiniment nous mon ange.

« Au lieu de se focaliser sur ce qu'on a pas, concentrons nous sur ce qu'on a. »
Voilà ce que l'on devrait se répéter à chaque fois que nous n'avons pas le moral.
Seulement, il y a des situations où la souffrance éprouvée est si forte, lorsque l'on perd quelqu'un
comme je t'ai perdue, où l'on ne voit plus que cette immense perte, cet immense vide créer par l’absence
de l'être cher, c'est comme ça, et l'on y peut rien. Seul le temps est capable de nous ouvrir les yeux à nouveau,
sur les personne toujours présente pour nous, sur ce qui subsiste et qui donne sens à une vie... Seulement,
le temps ne pourras jamais rien faire contre ton absence, au fond de moi la douleur restera la même.
Mon unique soleil, tu manques tellement à ma vie. 


 

Je ne parviens même plus à être là pour les personnes qui comptent réellement pour moi, mon père, ma mère, mon petit frère, et le peu d'ami(e)s qui me restent. Un peu comme si mon cœur se solidifiait, se glaçait, sans que je puisse y faire quelque chose. Je n’éprouve plus aucune compassion, pour quiconque. Au delà du fait du fait d'être mon ami, le meilleur, tu étais une des seule personne qui était capable de donné du relief à ma vie, chaque instant passés avec toi me faisaient oublié le reste, ta simple présence me faisait oublié tout ce qui pouvais entaché ce bonheur. On était simplement ensemble et ça suffisait. Je ne compte plus toute les fois où l'on se disait que « même si l'on ne se voit pas beaucoup, je pense souvent à toi », on pensait à nous c'est vrai. Tu m'as appris à aimer quelqu'un sans conditions aucunes, à lui prouver et à lui dire. Aujourd'hui ta présence me manque, je veux avancer pour toi je t'assure mais j'y parviens pas. Je regarde les gens poursuivre le court de leurs vie, moi j'en reste au même point. Ils n'ont pas ta spontanéité, ils n'ont pas ta bonne humeur, ils n'ont pas ton rire.. Et moi je ne sais plus où je dois me trouvé. Personne n'a su me prouvé qu'il tient à moi aussi justement que tu as pu le faire.. L'amitié que tu me portais, et que je ressentais m'aider tellement, pour tout un tas de choses.
Tu me manques mon soleil.


En ce moment il n'y a qu'en étant seule, allongée sur mon lit à penser à toi, à nous, à nos souvenirs que j'me sens bien. Ça fais bientôt deux mois, et rien, absolument rien ni personne n'arrive à comblé ton absence. En une journée je peux accordé de l'importance durant quelque minutes à des futilités, je ris parfois, mais à chaque instants c'est mon cœur qui te pense. L'idée que plus jamais je ne te verrais devant chez moi sur ton scooter, pour me proposer d'aller à la plage. L'idée que plus jamais je n'entendrais ta voix au téléphone me disant « Ouais Audrey j'me suis encore paumé dans ton quartier là comment on fait pour venir chez toi ??! ». Le simple fait de ne plus jamais avoir droit à un de tes si beaux sourires... Tout ça me hante. C'était juste le pure bonheur à tes côtés, tu manques tellement à ma vie mon trésor.

Moi j'ai pas envie de regardé les étoiles en m'disant que t'es quelque part là haut, tu serais trop loin de moi,
moi j'crois pas en toute ces conneries, pour moi y a pas d'étoiles, tu ne m'entend pas, tu ne me vois pas,
je ne t'entends plus et je ne te vois plus juste l'immense vide que tu as laissé dans ma vie en partant pour toujours ;
quoi que j'fasse il se passe rien. Le rien. L'absence. Le plus jamais. C'est si dur sans toi mon petit cœur.
Je croirais en nous jusqu'à la fin de mes jours, en cette amitié. Nous deux c'était l'amour de l'amitié, un truc unique.
Tout les jours tu continus d'exister dans ma tête, à chaque minutes mon ange t'es présent en moi, à travers moi,
dans mon cœur. Jamais tu ne mourras dans mon cœur, jamais tu t'en ira.

 

Parce que tu étais la seule personne qui me regardé avec ce regard là,
ce regard qui me permettait de croire en moi, peut importe les épreuves.
Je le sentais que tu étais fière de moi. 

 

 

 

Depuis que t'es partis je supporte plus tellement le silence, j'aime retrouver cette sensation
de te sentir assis auprès de moi quand je gratte trois accords, un peu comme lors de la soirée de
mes 17 ans, ton regard posé sur moi à cet instant précis me donnait envie de chanter pour toi toute ma vie.

Où que tu sois je me suis promis de faire tout ce que je peux pour que tu sois fière de moi, j'aimerais
te raconter tellement de choses, j'aimerais te faire partager tellement de choses mon ange..
Tu manques à tout, à mon coeur, à mes journées, à mes rires, à ma vie.

 

Sans la simple présence du peu de personnes que j'aime, je n'ai plus de repère.
A vrai dire j'ai perdu mon repère, ta joie de vivre et ta façon de me sourire suffisait à me guider.
Ton absence m'a fragilisé, me fragilise. Même si toi et seulement toi me donne cette force pour continuer.
Je continus beaucoup pour toi, un peu pour moi. C'est un peu comme si, même sans être là, tu persistais à
insuffler une force qui restera en moi pour toujours. Cela va faire trois mois que je n'ai plus droit à tes jolis mots, et j'ai déjà l'impression d'avoir passé une vie tout entière sans t'avoir à mes côtés. J'aimerais pouvoir m'accrocher à tes ailes, j'aimerais que tu me reviennes, mon corps est là mais mon esprit et mon cœur sans cesse ailleurs, en train de te chercher. Mon plus bel ange, je t'aime tellement et à jamais...

 

 

 

 

 

 

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