undeuxtroissoleil

o r p h a n

Samedi 26 novembre 2011 à 23:57

  
 
Ce soir je tombe sur le dernier spectacle de Florence Forestie retransmit à la TV.
Ton rire me manque. tout.
 
 

Samedi 26 novembre 2011 à 23:55

22 / 11 / 11 .

 J'ai envie de crier.
Je pleure, tout les soirs sans vraiment le vouloir, parce que j'écoute cette chanson, ou parce que ce jeune homme que j'ai croisé aujourd'hui portait le même tee-shirt que toi. Ca coule, ça ne s'arrête pas, ça coupe la respiration. 
J'ai envie de crier. 
Je ne crie pas. Tout le monde m'entends. Personne ne m'écoute.
Les mots ne délivrent de rien.
J'ai beau me confié aux gens, au gens que j'aime, qui m'aime, et au autres,
mon coeur pèse toujours aussi lourd.
Je ne sais plus vers qui me tourné. 
Je ne sais plus à qui parler, alors je ne parle qu'à toi.
J'les emmerde je crois à avoir si mal.
Même toi tu ne me supporterais pas en ce moment, je ressemble au vieux caniche
de la maison du coin de la rue, qui aboie après toute les personnes qui passe chaque jours
devant son portail. Il ne fait qu'aboyer.
J'emmerde le monde. à pleurer. à être trop souvent de mauvaise humeur, en ne parlant que de toi.
Parce qu'ils n'ont pas eu, eux, à te voir inerte, tes yeux fermé et ton regard absent dans ce cercueil.
Ils ne t'ont pas vu.
Moi je t'ai vu.
Et moi je te ne te vois plus.

Il me suffit juste de regarder cette photo de toi à Tahiti, les bras grand ouvert, sous la pluie,
pour être en colère. Tu étais tellement en vie..

Vendredi 18 novembre 2011 à 0:29

 Elle (après lui avoir parler de toi pendant 20 bonnes minutes..) :
" ... C'était l'amour de ta vie en fait ".
 
D'après ce qu'elle a répondu, ça se voit que je t'aime
même à travers mes yeux et le son de ma voix.
 
 





Je me retrouve à travers tout ce monde, tout ces gens qui font beaucoup de bruit
pour pas grand choses, Je n'entends que toi, il m'arrive souvent de te voir,
de te voir sourire devant moi. Ca n'a pas changer, rien ne m'atteint quand tu es là,
que ce soit physiquement devant moi ou dans mon coeur, mon esprit.
Toi seul m'atteint.


J'ai appris qu'aucun mots, aucuns actes ne sont capable de m'enlever  cette douleur qui cogne.
J'ai pas besoin d'ange gardien, alors reviens qu'on aille faire un tour à la plage, reviens dans mes bras.

Je préférai ne plus porter tes tee shirt, je préférai ne pas m'être fait tatouée, je préférai ne pas
avoir ton poster et ton horloge Bob Marley, je préférai ne pas avoir à t'écrire, je préférai ne pas
écouter en boucle toutes les chansons qui me font penser à nous.
J'ai juste besoin de toi, là, près de moi, tout près..
 



Je suis fatiguée de vivre sans toi.

Mercredi 16 novembre 2011 à 7:43

 


Quand on s'est endormit devant BIG FISH après avoir encore trop bu de vin blanc et rigoler jusqu'à pas d'heure, notre soirée à rire et à boire assis sur les marches de la statue du Pérou à écouter des musiques débiles un écouteurs pour chacun, quand je t'ai aidé pour ton concours de coiffure, notre soirée chez toi où tu m'as présenté Agnès et où tu t'es tourné vers elle en lui expliquant à quel point notre amitié compté pour toi qu'entre nous c'était une amitié forte et spécial depuis déjà 5 ans, nos virées à la plage en scooter où l'on s'enduisaient de monoï où je râlais parce que t'étais toujours plus bronzé que moi surtout depuis ton retour de Tahiti et la fois où tu nous avez pris du pain perdue que tu avais fait maison le matin même, notre première rencontre lors de l'anniversaire « surprise » d'Estelle Fournil quand j'étais en 3ème où l'on ne s'était presque pas adressé la parole, la discussion msn qui a fait que l'on s'est vus de plus en plus souvent, nos après-midi sur l'espla, nos repas au macdo, quand je t'emmenais au ciné et que tu disais à chaque fois que ça faisais une paye que t'étais pas allé au ciné qu'à chaque fois que t'y allé c'était avec moi, notre aprem juste avant que je parte deux semaines en Grèce où l'on s'était dit qu'on s'aimait, les quelques mois où l'on ne s'est plus adressé la parole suite à la mort de ton père où tu commençais sérieusement à touché à la drogue, la fois où je t'ai revus à Jean Monnet après cette longue période de silence, quand on a recommencer à se parler, quand tu t'es repris en mains, que tu as décidé de reprendre les études, le jours où tu as eu ton CAP coiffures, la soirée de mes 17 ans où tu étais venus exprès pour moi même si tu ne te sentais pas très à l'aise avec mes potes, tu es venus quand même et l'on s'est assis par terre adossé contre le portail pour parler, on s'est dit cette fois là qu'on s'aimait très très fort et que notre amitié compté par dessus bien d'autre que l'on avait besoin l'un de l'autre pour avancer, quand tu me disais que j'étais selon toi une « vrai petite artiste » et que tu m'admirais et m'aimais pour ça, quand tu me disais que je comptais vraiment pour toi, que j'étais différente des autres puis que t'étais gêné parce qu'après tout ces mots j'me suis mise à pleurer dans tes bras, toujours pour mes 17 ans lorsque tu t'es assis à côté de moi lorsque je chantais et jouer de la guitare, quand tu m'as dis par la suite que t'avais montré quelque unes de mes reprises à ta maman et à ta tante , notre concert d'Olivia Ruiz ensemble, quand je t'ai emmené voir « Papa est en haut » de Gad Elmaleh pour mon anniversaire, la période où c'était nous deux contre le reste du monde, mes nombreuse soirées passé chez toi à prendre mille et une photos râtés, à rire à n'en plus en pouvoir, tu te rouler tes bédo, moi j'enquillais la bouteille de vin blanc, la fois où tu m'avais décoré ta tables basse, t'avais mis des bougie et de l’encens et tu m'avais fais à manger, les nombreuses fois où tu me rappelé que même si on ne se voyait pas trop souvent tu pensais beaucoup à moi, nos aprem au parc à côtés de chez moi à te prendre en photos, quand tu m'avais emmené à ce bar gay pour boire un diabolo fraise. L'aprem qu'on avait passé à la plage avec mon papa et mon fréro à jouer au beach volley et à boire un coup sur le vieux port. Le soir où ça n'allé pas du tout et où j'ai supplié mes parents qu'il accepte que tu dodo à la maison, les aprem passés dans le parc devant chez moi à te prendre en photos, à nous prendre en photos, à faire un cœur avec nos deux mains assemblés comme ça s'faisait à l'époque, notre grimace fétiches, nos délires sur les « têtes à claques »..

Dimanche 6 novembre 2011 à 22:43

 


 "Ma chérie,
Bon tatouage pour tes 19 ans
& une pensée pour Lucas. 
 Maman"

voilà ce qu'elle a écrit cette année sur ma carte d'anniversaire.
Je cours me réfugié dans les toilettes du restaurant.
Larmes.







c'est fou comme de simple mot puissent chaque jours rendre compte du vide que tu as laissé derrière toi,
du manque qui grandit chaque jours, qui prend toute la place dans mon coeur.

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